Comme parent, un des pires cauchemars de la vie reste la maladie d'un enfant.
L'évolution a, pour des raisons évidentes, favorisé un attachement vital des parents pour leurs jeunes enfants. Si vital et profond, que toute souffrance de sa progéniture est vécue de façon amplifiée chez le parent. Une souffrance qui, malgré tout, serait tolérée jusqu'à l'ultime si elle pouvait enlever quelconque peine ou soutirer quelque malaise chez l'enfant.
Ma petite Florence passe des moments difficiles et je souffre.
Elle ira mieux...
dimanche 23 septembre 2012
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